La guerre des nombres premiers
Yan Pradeau
Présentation
On croyait tout connaître des nombres premiers. Mais cette belle présentation nous fait découvrir sous des aspects différents ces objets mystérieux. L’auteur nous promène de leur découverte à l’analyse de leurs propriétés ‒ distribution, répartition, utilité pratique ‒ qui ont mobilisé, dans une lutte acharnée, les travaux des plus grands mathématiciens, de Mersenne, Fermat, Euler ou Gauss aux récentes contributions de Terence Tao. À propos de la détermination de la primalité des très grands nombres, l’auteur, dans son chapitre, « Nombres premiers à vendre », explicite la véritable guerre, liée aux algorithmes de cryptographie RSA, dont les clefs permettent de sécuriser transactions commerciales, les comptes bancaires ou les cryptomonnaies.Yan Pradeau profite des nombres premiers pour relater la biographie de tous les intervenants, avec des anecdotes de bon aloi ‒ plus de dix pages pour Dirichlet et Hadamard, vingt pour Euler et Fermat ‒ et une écriture légère et pleine d’humour qui rend son livre accessible à (presque) tous.
Note de lecture Tangente
Nombres premiers : de nouveaux enjeux
On croyait tout connaître des nombres premiers. Mais cette belle présentation nous fait découvrir sous des aspects différents ces objets mystérieux. L’auteur nous promène de leur découverte à l’analyse de leurs propriétés ‒ distribution, répartition, utilité pratique ‒ qui ont mobilisé, dans une lutte acharnée, les travaux des plus grands mathématiciens, de Mersenne, Fermat, Euler ou Gauss aux récentes contributions de Terence Tao. À propos de la détermination de la primalité des très grands nombres, l’auteur, dans son chapitre, « Nombres premiers à vendre », explicite la véritable guerre, liée aux algorithmes de cryptographie RSA, dont les clefs permettent de sécuriser transactions commerciales, les comptes bancaires ou les cryptomonnaies.
Yan Pradeau profite des nombres premiers pour relater la biographie de tous les intervenants, avec des anecdotes de bon aloi ‒ plus de dix pages pour Dirichlet et Hadamard, vingt pour Euler et Fermat ‒ et une écriture légère et pleine d’humour qui rend son livre accessible à (presque) tous.
